Après un café pour se réchauffer et se mettre en condition, deux équipes ont été formées, une à la cave et l’autre au premier étage, dans la grande pièce de réception.

La cave : après avoir installé un projecteur halogène, l’équipe a commencé à déblayer les bouteilles vides et autres détritus, puis les pierres et la terre qui encombraient les lieux. Ce travail a permis de dégager une ouverture qui donne vraisemblablement vers la deuxième partie des bâtiments, et une « niche » dans le fond coté ouest. Il est important de saluer le travail ingrat réalisé, car il fallait remonter les seaux de gravats et de terre le long d’un escalier glissant, pour les déverser dans la benne  stationnée dans la cour, et éviter au passage les gravats tombant de la fenêtre du premier étage, directement dans ladite benne !!!

La grande pièce du premier étage : Les cantonniers avaient commencé à casser un peu de cloisons pendant la semaine, et il a fallu déblayer tous les gravats et les déverser dans la benne en évitant les collègues venant de la cave. Puis on a enchaîné sur la démolition complète de l’ensemble des cloisons restantes, dépose de la cheminée d’angle et des huisseries en bois. Le tout produisant encore plus de gravats qu’il fallait évacuer au fur et à mesure. On a quand même rempli 4 bennes complètes dans la journée !!!!

Tout ça nous a tenu jusqu’à midi moins le quart, heure de l’apéritif … après l’effort, le réconfort !!!

A 14h30, reprise des hostilités, les « cavistes » se retrouvent au grenier (il ne faut pas changer une équipe qui gagne), et ceux du premier restent au premier car un des membres a amené son échafaudage et a commencé à descendre le plafond en plâtre sur lattis de bois, à 3,50 m de haut !!!

Rapidement secondé par un deuxième larron, nos deux « terminators » ont pu ainsi venir à bout des 75 m2 de plafond de la pièce, faisant apparaître un magnifique solivage en chêne, resté en très bon état, et qu’il suffira de sabler lors d’une prochaine journée de travail.

Bien entendu l’armée des  fantassins continue de déverser des seaux de gravats par la fenêtre avec une petite variante car il faut trier les morceaux de lattis en bois pour les brûler.

Un grand feu de joie est allumé dans le terrain et toute la pile de bois (huisseries, vieilles portes, lattis etc …) part en fumée ; dommage qu’il fasse si froid, on aurait pu faire un beau barbecue !!!!

A 17h30 tout le monde remballe et on se quitte avec la satisfaction du devoir accompli, dans la joie et la bonne humeur ; la prochaine journée de travail collectif est fixée au Samedi 28 Février.